Homère
Messages : 1119 Date d'inscription : 04/10/2010 Localisation : Lille
| Sujet: Ainsi commence la légende Ven 8 Oct - 0:04 | |
| Enfants de Travian, entendez la geste de ces fiers héros que sont les ArgONauTes... En des temps antiques, les dieux cléments ont bien voulu secourir les enfants de Travian du terrible cataclysme annonçant l'avènement des Natars. Ainsi Hermès convoqua une créature fantastique, douée de parole et représentée comme un bélier ailé à la toison d'or et aux cornes d'or, Chrysomallos. Ils lui donnèrent pour mission de sauver les hommes. Seul Phrixos survécut, qui sacrifia le bélier en l'honneur de Zeus. La Toison fut donnée à Eétès, c'est la fameuse Merveille de Travian appelée Toison d'or. Bien longtemps après ces événements, quelques fiers combattants des Territoires du Nord Ouest, souvent de solides barbares, se sont levés afin de réclamer la Toison au roi protecteur Eétès, et de l'arracher aux griffes du dragon gardien de la merveille, de revendiquer le trône qui leur est du et ce faisant de sauver les hommes avant que le cataclysme ne se reproduise et engloutisse toute l'humanité... C'est ainsi que Ponce, fils de Teddix, aidé par Athéna, construisit l'Argo, terrible vaisseau doué des dons de parole et de voyance, du bois de chênes provenant du bois sacré de l'Oracle de Dodone. Ils savent qu'ils seront mis à dure épreuve, ils se doutent que le voyage sera périlleux, mais imaginent-ils à quel point ? Qu'importe car les dieux en ont décidé ainsi, et la gloire sera au rendez-vous, sur le champ d'honneur ou dans leur nouveau royaume ! | |
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Homère
Messages : 1119 Date d'inscription : 04/10/2010 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Ainsi commence la légende Sam 30 Oct - 23:54 | |
| Je vous propose un sonnet Rédigé par Joachim Du Bellay Evoquant Ulysse le héros d'Homère, La quête de la toison et d'autres chimères
Quand reverrai-je, hélas ! de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup d'avantage?
Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plait l'ardoise fine ;
Plus mon Loire gaulois que le Tybre latin, Plus mon petit Liré que le mont palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine. | |
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